25 novembre 2013
Record morbide
Deux lectures récentes... reliées par l'explosion de la violence de masse guerrière depuis la fin du XVIIIe siècle (notamment due au rôle croissant de l'artillerie) :
- Leipzig, 1813. La guerre des peuples de Stéphane Calvet* (Vendémiaire)
- Le Jour le plus meurtrier de l'histoire de France. 22 août 1914 de Jean-Michel Steg (Fayard)
Tous ces pauvres soldats, sous-officiers, officiers de tant de nations broyés, hachés, éparpillés... l'attention des historiens les entend post-mortem et tente de nous les rapprocher, par sondage. Comme l'ancienne histoire-bataille semble loin !
* A noter, quelques passages intéressants de Calvet sur les traces de républicanisme dans l'armée impériale de 1813. L'an II comme un reproche lancinant...
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