4 juin 2014
Groink
Alors qu'une énorme et délicieuse côte de porc m'attend ce midi, béni soit le cochon qui me l'a fournie ! Légère entorse à mon régime, mais c'est là une bonne tentation, le péché de gourmandise ne m'affectant plus guère. Et que Michel Pastoureau soit remercié pour avoir fourni cette ode de papier au cochon et à la cochonnaille.
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